Poupée se fit sauvagement enlevée par les clowns aux yeux riant et a la bouche pleurante. Ils l'apportaient dans le pays des rêves, un monde où tout ce que l'on croyait qui n'existaient pas existe. Où les gens tristes n'existent pas, et où la joie rampe dans les rues.
Que dire... J'ai envie d'écrire, sur un fond de Yann Tiersen, musique très inspirante et expressive d'ailleurs.
Je ne sais comment expliquer ce qui m'arrive. J'ai laisser le temps faire le choix à ma place, il l'a fait, avant il ne voulait juste pas que je le précipite. Est-je trouver celui qui me rendra heureuse "toute ma vie", j'espère au moins, jusqu'au jour ou mon coeur se lassera de battre. Cela fait depuis peu de temps que je commence à en avoir marre de ces relations dans le vent, ces relations où quand mes sentiments se font important, tout s'écroule ainsi qu'un château de carte. J'avais trop pressé les chose à ces moments là. Je ne savais pas que j'pouvais tomber amoureuse aussi rapidement et que le soit disant "coup de foudre" existe, je suis morte par l'éclair, une nuit sur la terre.
Quelque chose me dis que sa durera longtemps, même si cela ne fait pas grand temps que je suis avec Lui, je ne voudrai en aucun cas qu'on est à ce séparé, je me suiciderai, ou peut être que j'me ferais lesbienne ou libertine... Bref je ne veut pas être aussi pessimiste que ça, sa n'apporte a rien.
En ces jours je me sens heureuse, et je veut le savourer avant qu'il ne s'en aille. Un "bonheur" auquel je n'ai pas encore eu le temps de goûter et q ai tout pur me faire saliver. Il ne m'aura pas cette fois.
Poupée, elle danse au bout des notes de xylophone, elle aime cette musique qui résonne doucement dans sa tête creuse, ou les rêves se font vieux mais qui vivent toujours. Elle tourne, et tourne, dans sa robe de dentelles et ses cheveux noirs bouclés volent dans le vent d'été.