• Poupée se fit sauvagement enlevée par les clowns aux yeux riant et a la bouche pleurante. Ils l'apportaient dans le pays des rêves, un monde où tout ce que l'on croyait qui n'existaient pas existe.  Où les gens tristes n'existent pas, et où la joie rampe dans les rues.


    Que dire... J'ai envie d'écrire, sur un fond de Yann Tiersen, musique très inspirante et expressive d'ailleurs.
    Je ne sais comment expliquer ce qui m'arrive. J'ai laisser le temps faire le choix à ma place, il l'a fait, avant il ne voulait juste pas que je le précipite. Est-je trouver celui qui me rendra heureuse "toute ma vie", j'espère au moins, jusqu'au jour ou mon coeur se lassera de battre. Cela fait depuis peu de temps que je commence à en avoir marre de ces relations dans le vent, ces relations où quand mes sentiments se font important, tout s'écroule ainsi qu'un château de carte. J'avais trop pressé les chose à ces moments là. Je ne savais pas que j'pouvais tomber amoureuse aussi rapidement et que le soit disant "coup de foudre" existe, je suis morte par l'éclair, une nuit sur la terre.
    Quelque chose me dis que sa durera longtemps, même si cela ne fait pas grand temps que je suis avec Lui, je ne voudrai en aucun cas qu'on est à ce séparé, je me suiciderai, ou peut être que j'me ferais lesbienne ou libertine... Bref je ne veut pas être aussi pessimiste que ça, sa n'apporte a rien.
    En ces jours je me sens heureuse, et je veut le savourer avant qu'il ne s'en aille. Un "bonheur" auquel je n'ai pas encore eu le temps de goûter et q ai tout pur me faire saliver. Il ne m'aura pas cette fois.

    Poupée, elle danse au bout des notes de xylophone, elle aime cette musique qui résonne doucement dans sa tête creuse, ou les rêves se font vieux mais qui vivent toujours. Elle tourne, et tourne, dans sa robe de dentelles et ses cheveux noirs bouclés volent dans le vent d'été.









    1 commentaire

  • Tu es l'océan où tant de fois mon cœur s'est noyé.
    Poupée


    Quelque fois je change d'humeur et de comportement du jour au lendemain. En ce moment, c'est ce qu'il m'arrive.
    Je suis froide avec les gens, je leur dis ce que je pense vraiment d'eux sans cacher la moindre chose qui me vient à l'esprit en les voyant. Je regarde autour de moi, des couples qui s'enlace à n'en plus finir, devant mes yeux qui pleure à l'intérieur. Je me dis, que j'aimerai bien être cette fille aimée, qui sait à qui parler dans les cas où elle ne sait plus quoi faire ni penser. Je détourne les yeux et me dis que je n'ai que moi, je n'ai que moi pour essayer de m'aimer et de me parler dans les nuits sombres aux ciel étoilés. Ce ciel, j'aurai aimé le voir avec d'autre yeux, regarder ces particules blanches qui parsèment un fond noir inaccessible, et construire des rêves pour y habiter. J'ai plus envie de regarder les étoiles. Elles sont tellement belle qu'elle me rende jalouse. A la place, je regarde le sol qui se fait autant piétiner que moi, sans aucune pitié, et on le laisse seul derrière soi, là, je sais me reconnaître.
    Avant je n'étais pas comme ça, je n'étais pas cette fille qui veut se savoir aimée, qui ne veut plus être seule dans son atonie de vivre. Non, j'étais celle qui voulais être seule, celle qui se foutait d'être invisible, celle qui voulait mourir anonyme.


    Image Dead List crée par Poupée




    2 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires