• Poupée dont le château s'est éffondré du jour au lendemain. Elle avait réussie a presque le finir, mais un coup de vent froid est venu faire trembler cet empire.

    Les jours sont tristes ces derniers temps, le soleil d'été ne refait plus surface, ou presque, le froid est à la bonne heure et le soleil tente de se faire une place au milieu de ces nuages un peu sombre.
    Je ne sait pas quoi faire, je rejète tout ceux qui m'entoure, la seule chose dont j'ai envie c'est de pouvoir rentrer chez moi, me dire que personne viendra me parler. J'ai envie de me sentir seul, mais j'ai aussi envie d'être avec lui. Il est revenu comme un survivant dans ma vie, je l'ai accepté, même si dis "qu'il n'est pas amoureux de moi mais qu'il a besoin de moi" sur ces mots je me suis senti confuse, je n'ai pas très bien compris mais j'ai fait semblant.
    Je lui ai encore fait peur. J'ai le dont de faire peur et d'enerver les gens. Je sais pas si je devrait appeler ça un don...

    Je suis passer quelque par tout à l'heure j'ai eu envie de pleurer, pleurer parce que je me demande pourquoi on à été si mechant avec moi alors que je voulais juste un peu d'amour et de chaleur, quand on m'en donne et que j'en veux pas [parce que ça viens de personnes spécifiques] je le repousse et ressent du dégoût. Serai-je difficile ? A voir.

    J'attend que sa se passe, j'attend que sa vienne et pas moi qui viens. J'en ai marre de m'aventurer pour finir torturée ou bléssée.


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  • Elle reste assise là, les yeux qui s'égarent un peu partout pour pas voir ce qu'on s'attend a voir d'une minute à l'autre. Seulement c'est fait, elle a vu ce qu'elle ne voulait pas voir, elle restait sur sa faim depuis 5 mois, aujourd'hui elle meurt de faim. Même si elle s'y attendais, le fait de le voir en réel la...
    Ouai... son coeur s'est compressé de voir ses yeux, son visage qui un jour ont été tout pret d'elle et qui sont partis pour toujours.

    Poupée dont les larme essuie la poussière de son visage lisse, elle a tant pleurer pour ce genre de chose, elle se demande pourquoi elle n'a plus de larmes, pourquoi elle continue d'être ici pour souffir toujours de la même chose, elle reste sans réponse. Tant de choses lui traverse l'esprit mais c'est le même manège qui tourne, elle revoit toujours les même cheveaux qui étaient passé auparavant. Enfouit dans son coffre  elle ne trouve plus éspoir à rien, elle laisse passer la vie, elle encaisse ses coups de pieds et de poing mais elle ne dis jamais rien, parce que si elle parle sa sera pire.

    Ne t'en fait pas Poupée qu'on lui dis, masi elle se perd chaque jour un peu plus pour arrriver à rien. Dort petite Poupée, dort dans les bras de la brumes, il fait froid comme dans ton coeur, et tu attend désesperemment une flamme qui te rechauffera, une etincelle, un rien même... . Attend ce qu'on te reserve sans surprise car tu l'as déja vu tant de fois dans ton passé.


    "Qu'un jour on cru amour, qu'un jour on cru toujours, puis qu'un jour on croit plus, puis qu'un jour on oublie"

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  • Oui certains croirons que j'étais morte d'autre se diront qu'elle en a peut être marre de continuer ce blog, dans tout les cas les deux sont faux, dommage.
    Mourir là à l'instant me dérangerai pas, mais je veux continuer ce truc que je me traine depuis 3 ans déjà, c'est fou j'aurai dis que c'étais hier quand je me suis engagé dans ça, à vouloir écrire des chose que peut être seule moi comprendrai, et je vois chaque jour quelque centaines de visiteurs... Je suis assez étonnée je l'avoue.

    Chaque me pèse lourd sur les épaule, c'est pas nouveau mais ma tête va finir par toucher le sol a force de me courber. Tout les jours j'entre dans une salle de classe dont le cour ne m'interesse pas du tout ou alors je ne comprend rien... et c'est la que j'me dis "qu'est ce que j'fous ici moi !?", un  silence et puis rien.

    Je me sens assez bizarre aussi, mon corps je le comprend plus, j'ai mal au bronches de mes poumons, j'ai des gestes et réactions bizarres aussi... Qu'est ce que je suis au final ? Je sais pas, personne sait et on le saurât sûrement jamais.



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