• + Monster +


    Aujourd'hui j'ai le choix entre me suicider, devenir lesbienne ou libertine... (cf article en dessous)
    Jolis château de carte qui s'écroula sous le vent de la tristesse, ce vent qui m'emportât une fois de plus dans ce monde noir, le monde des clowns noir au maquillage macabre, un couteau a la main, toujours à l'affut de vos moindre gestes et au sourire triste. Poupée est revenu à sa place, dans son coffre a jouet miteux, où les toiles gigantesques d'araignées lui servent de siège.

    Ma vie depuis peu se promène sous forme de fatigue, de mélancolie, de jalousie, et d'une chose.

    Ce garçon qui eu la e courage de venir me parler ce jour où il y avait de l'orage, moi, déjà déprimée je restais sous un arbre a me faire taper par les gouttes de pluie. Il s'approchât de moi et me parlât depuis je le revois tout le temps, quelque fois je vais lui parler quelque fois c'est lui, mais je n'ai pas de discution, quand je suis avec lui j'ai juste l'air d'une pauvre autiste, je parle pas, trop timide, je me force à le regarder dans ses yeux bleus, il m'intimide de trop. Ma pensé est à présent occupée seulement par lui. C'est dingue quand même... Dans ma tête je me dis qu'il est tellement inaccessible pour moi que des fois je cherche même pas a le regarder... Bref tout ça pour dire que je suis redevenu aussi pessimiste qu'avant...



    Jamais sa ne finira comme tu le voudra.


    Photo : Poupée legs by Poupée


  • Commentaires

    1
    Syr-bsx
    Mercredi 25 Juin 2008 à 20:11
    Aimer
    Aimer. Mélancolique petite gamine qui traine ton sleen, je t'aime. N'imagine pas que ce soit de ce désir inconditionnel qui enflamme d'un éclair le cœur des romantiques à la petite semaine, ni même d'une bonté universelle que suent les croyants intégristes. Le choix de ton univers graphique, tes naïfs petits dessins et le soin rigoureux de tes rédactions épurées... me touchent. Non, je ne suis pas condescendant. Je suis un sadique qui te botterai volontiers le cul pour que tu te bouge de ton blog pour attraper celui qui hante ton esprit au point de te terroriser. S'il est venue te parler ce n'est pas seulement pour toi, mais aussi pour lui ! Je suis un homme qui comme dans tous les clichés a cette pulsion qui flatte notre ego en protégeant la jeune demoiselle qui pleure sous la pluie. Un homme tout comme celui que tu convoite. Crains-tu à ce point qu'il lise dans ton regard que tu lui es accessible et qu'il peut, pas à pas, t'apprivoiser ? On ne peut pas perdre un amitié, simplement en suggérant l'existence d'un petit plus. Au pire tu t'endurcira, et chaque matin tu te lèvera parce que la vie nous contrains toujours à continuer de l'avant. Je n'aurais pas la patience d'un manipulateur de pantin, ni l'expérience d'un occulte vaudou pour diriger ta vie par de perfides conseils. Mais j'aime ce que je ressens de toi et je viendrai, vampyre me repaître de ta peinture sur la toile. Peut-être, partagerai-je un peu de l'expérience que la vie me laisse à chaque jour volé. Cela ne te réconfortera certainement pas si tu tu complais dans l'auto-destruction, mais qui sais ce que dont tu tirera profit demain. Je reste convaincu que le bonheur est une discipline qui ne n'enseigne pas, à toi de créer le tiens, dans ton propre univers!
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