• Journée ensoleillée comme "d'habitude".
    La bonne humeur est au rendez vous.
    Sa crie, sa rigole et sa bouge dans tout les sens.
    En ce moment je suis d'humeure plutot agressive... Je ne sais pas pourquoi d'ailleur. L'immaturité de certaine personnes commence a m'énerver sérieusement. Je suis peut être immature sans m'en rendre compte, mais puisque je ne pense pas ça de moi je me permet de critiquer.
    Voir tout ce monde qui s'aime, me donne presque la nausée... Quand je me regarde, j'ai la nausée tout court. Même mon âme de raleuse ne m'aime pas, elle me trouve trop plaintive, trop gamine et pas très futée...


    Article servant strictement à rien je crois, juste a me plaindre =D



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  • Le Soleil qui était triste ne jamais voir la Lune,
    Essayait en vain de la retrouvé
    Il ne l'a trouva jamais, après des siècle de recherche.
    Un beau jour de Juin, le Soleil se suicida
    Et la Lune, elle, rigolait de son absurdité
    Mais elle finit par le rejoindre.

    Poupée [poème écrit à l'improviste juste à l'instant]


    Belle matinée, après midi dégoutant.
    Dans le train, remonté subite de pensées noire. Air morose, regard baissé.
    Ce matin j'ai eu au moins 10 personnes qui me demandait si s'a allait . Mais oui je vais très bien, j'ai pas envie de crever pour l'instant, a croire que la tristesse s'est gravé sur mon visage.
    Passons.
    Bon j'essaie de mettre de la musique "joyeuse" pour pas brouiller du noir, mais vu mon état actuel c'est deja mal foutu.
    Mercredi, coiffeur. Bon j'espere que sa va donner ce que j'espere et pas me rendre plus laide que je ne le suis déjà.

    Enfin voila, j'vais regarder ma serie débile et  faire mon dm de Maths que la prof a donné il y a une semaine et que c'est en ce jour a 17h30 que je réalise que j'doit le commencer, et le finir o.o


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  • Aujourd'hui, c'est finit. Plus rien de tout ça n'arrivera. J'ai pleuré. C'est moi qui ai commencé après tout... ou pas, je ne sais vraiment pas. Sa m'a fait mal au coeur, et j'ai pleuré sans le faire exprès. Comme si toute la souffrance accumulée dans mon coeur avait débordée et n'en pouvait plus. J'ai tellement cette manie de m'attacher aux gens que j'en finis à me retrouver seule à chaque fois. C'est incontrôlable pourtant...


    Hier j'eu soudain des flash back de la troisième. Je réfléchissait [en maths biensur] avec qui j'allait bien manger dans cette endroit d'intoxication alimentaire appelé plus communément "cantine", et je me suis souvenu, je me suis souvenu de ces beaux jours où le soleil commencait enfin à vivre et se dévoiler de dérrière les nuages gris d'hiver. On attendait dans cette file interminable avec la faim aux ventre...
    Bref, tout ça me faire rappeller qu'Elle me manque...

    Ces dérniers jours sont remplis de soleil, de bonne humeure, ou pas. [touours ce "ou pas" qui casse tout]. Je commence bien le trimestre, mais pourquoi je ne me suis pas reveillé plutôt -_- c'est à dire en Septembre.

    Je me promène en compagnie de ma lassitude que je doit traîner à mes pieds

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  • Il y a longtemps que je n'ai pas déballé ma vie riche en aventure extraordinairement intéressante. Le 29 mars j'ai eu 17 ans [sa n'intéresse personne je sais] et je m'étais dis que je devais mûrir dans ma tête d'adolescente. J'en ai assez de cette mentalité de gamine. Je veux changer, pour moi et pour quelqu'un aussi.
    Pessimiste ? *rigole* ouai... pessimiste, j'y peut rien...
    Je laisse le temps faire, vu que lui ne veut pas que je fasse les choses a sa place.
    Je ne parlerai pas de lui, de peur d'offenser... mais si seulement il savait...            *Nan !* chut.

    Je suis cette poupée à qui on a coupé les cheveux, comme on coupe les ailes aux fées, pour que je déteste tout ce monde toujours en réserve de force pour m'enfoncer dans la terre.


    Chut ♥ [clik]


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  • Elle air sans but, peut être qu'elle cherche la vérité ou peut être elle ne cherche plus rien.
    Elle croit que tout est possible sans même y avoir gouté. Elle croit qu'avec un simple battement de paupière on peut voler loin, qu'avec un mot on peut refaire le monde, qu'avec un baiser on peut faire l'amour, qu'avec une larme on peut faire un océan de tristesse. Elle croit que l'impossible peut devenir possible. Tellement innocente, qu'elle ne sait plus quel âge elle a pour croire aux choses qu'on interdit de penser. Elle ne sait plus comment elle s'appelle, elle sait juste qu'un jour elle ne sera plus dans ce monde démodé en noir et blanc muet.
    On la voit, mais personne ne dit rien. Une existence invisible, celle des plus craintives aux yeux de l'être humain. Exister sans vire. Et peut être qu'elle se noiera dans ce bain de soleil qui sèche ses larmes chaque fois qu'elles sortent et qui fait briller ses yeux, qui blanchit sa peau pour devenir éblouissante. On ne peut plus la regarder à cause de ça. Juste comme ces saints, on sait qu'ils existent mais jamais nous les avons vus ; étaient-ils trop sage pour permettre un regard se poser sur eux ?
    Elle n'a rien d'une sainte, elle rêve en couleur sans oublier qu'elle touche de son pied la terre noire. Elle voudrait qu'il pleuve des couleurs sous forme d'arc en ciel, tout ça sur un fond gris foncé. Seule dans le jardin de ses pensées, elle parle aux personnages qui l'habitent, sans connaître leur histoire. Elle laisse vagabonder des phrases dans sa tête, dépourvues de sens. Au milieu de cette montagne de lettre, elle se fera sans doute transpercer le cœur par un pic appelé « l'art du mensonge ». Et alors le blanc sera rouge sombre, et elle dira d'une voix légère qu'elle a vécu pour savoir si on pouvait exister sans mentir dans le cœur des hommes, ceux qu'ils voulaient tant qu'elle se dessèche a cause de ses pleurs. Mais elle vit, tout les jours elle viens dans ce jardin qui égaye les coins les plus sombres de son âme, juste par une lueur qui est celle d'aimer et de pouvoir imaginer en liberté dans son coin de jardin secret le plus inconnue du monde. Car rêver est tout un art de vivre.

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